lundi 12 décembre 2016

Randonnée et visite chez l'armailliste.

Dernière sortie 2016, une randonnée nous a emmenés du brouillard givré de Palézieux au soleil quasi printanier d'Attalens pour visiter l'atelier et les sculptures de Gérald Chevalley, dit l'armailliste. Il travaille sans machines, uniquement avec son maillet et ses gouges en atelier ou, le plus souvent, lors de ses randonnées en forêt où, s'il l'on est un peu observateur, on peut en découvrir quelques-unes laissées là pour être adoptées par les promeneurs. On peut également adopter une de ses sculptures si vous êtes à la recherche d'un cadeau à offrir!


Ruines du château de Bossonnens


Un bon petit vin chaud à l'arrivée à l'atelier


Toucher les yeux avec les mains

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L'artiste à l'oeuvre

mercredi 30 novembre 2016

Randonneurs dans la brume.


Hubert, le guide historien et géologue de la journée





Et, pour finir, le traditionnel poème d'Antoine



Entre Marnand et Châtonnaye

Hubert  nous a orientés
Vers un paradis inconnu,
Par des chemins et des  sentiers,
Aux tracés plutôt biscornus.

Un  ruisseau enfle ou rétrécit
Au gré des courbes  de son lit.
Quel bonheur de se balader
Au pied des talus, des rochers.

Flâner vers la fin de l'automne
Sur les paillassons éphémères
Des feuilles tordues et légères
Aux coloris de cretonne.

Alléger, puis suspendre son pas
Pour écouter le roitelet,
Observer la vie des sous-bois,
Couloirs des castors, troncs coupés.

Les fûts hautains que l'air burine
Exhalent parfum de résine.
Des pans de falaise écroulée
Ont un lagon vert modelé.

Nos chaussures dans la gadoue,
Laissent des marques passagères.
Pas question de faire les fous
On pourrait bien tomber par terre.

Sur un bord de la sente étroite,
Une clairière à l'abandon
Avec des ruines de maisons
Masquées par des taillis, à droite.


Entre les prêles et les pierres
Flottent des senteurs forestières.
Rien ne trouble la paix du lieu.
La brume masque un fond de bleu.

Quand on arrive dans les champs,
Le ciel nous paraît bien plus grand.
Sur le chemin de la rentrée,
Nos coeurs et nos pieds sont légers.

Au loin, tintent dans un clocher
Douze coups de la mi-journée.
Nous quittons ce coin oublié.
Il est temps de se restaurer.


                            Antoine (29 novembre 2016)



La cretonne est une toile de coton, souvent imprimée de motifs variés.

samedi 29 octobre 2016

Journée de la Canne blanche à Berne










C'était la Journée de la Canne blanche à Berne samedi 15 octobre. Une bonne petite délégation de notre groupe s'y était rendue en train pour y prendre part sur la Place Fédérale au milieu de représentants des autres sections cantonales. Au programme, revendications, discours, rencontres, enregistrement et dégustation (!) de la plus grande canne blanche dans le Guiness Book, soleil et ....amitié!


jeudi 13 octobre 2016

Même pas peur du vide!

Vous vous rappelez de la réponse d'Antoine quand un journaliste l'interrogeait sur ses impressions alors qu'avec son guide Jean-Paul ils avaient fait une chute très remarquée à la Pascale Richard? "Je n'avais pas vu le danger!".
A part cet humour qui est un peu la couleur du GTF, rien d'étonnant à ce qu'on retrouve notre Antoine plus tard s'essayant à la via Ferrata. Rien d'étonnant non plus à ce que notre jeune dynamique Christophe Rollinet suive son exemple, sans le savoir, sur la via Ferrata de Champéry, avec son guide Romain et Alain Bozzini pour les photos, entre autre. Merci de nous faire partager ce petit exploit par ces quelques images.

Descente dans la falaise pour atteindre la via ferrata, avec Alain guidant Christophe

Toujours la descente

Préparatifs. Une corde supplémentaire lie Christophe et son guide Romain

Christophe en action, dans les marches de la paroi

La via longe un torrent bien rafraîchissant

Traversée du torrent sur une passerelle, Romain ouvrant la marche

Suite de la montée, avec Romain précédant Christophe

Traversée latérale de la paroi avec Christophe et Romain au second plan

lundi 19 septembre 2016

La Franco-Suisse 2016

5 tandems portaient les couleurs du GTF lors de la 33e franco-suisse. Michel et Violaine Willi, Patrice et Vincent, Hubert Marro et Christophe, Hubert Perriard et Paul-André.  Christian et Antoine avaient  rallié le Bémont à vélo depuis Villarimboud.
Météo exceptionnelle. Les paysages des Franches-Montagnes, avec leurs pâturages boisés, leurs bosquets et leurs forêts de sapin, leurs troupeaux de bovins et leurs hordes de chevaux en liberté, une découverte étonnante. Quoi de plus charmant qu'une jument et son poulain à la pâture.

  Chaque participant y a pris un grand plaisir.

Villages et hameaux traversés sont une symphonie de syllabes : Muriaux, Les Breuleux, les Emibois, Saignelégier, les Enfers. Le Peu des Vaches.
Le mot Peu nous intrigue. L'étymologie propose deux variantes
- flanc de colline, terrain en pente
- mais plus probablement puits.

Organisation parfaite à tous les niveaux : hébergement, nourriture, convivialité, marquage sur les routes, sécurité. De quoi tirer plein d'enseignement pour  la 35e édition qui aura lieu les 31 août, 1er et 2 septembre 2018 au château de Vaulruz.










dimanche 4 septembre 2016

Et pendant ce temps-là...

Alors qu'une partie du groupe était en weekend au Grand-St-Bernard avec la section fribourgeoise, d'autres ont choisi de se familiariser avec le kayak, histoire de pouvoir guider aussi les copains intéressés. Pas de rentrées nocturnes mouvementées, contrairement aux collègues dormant sur les hauteurs italo-suisses, mais un apprentissage en douceur et une balade sans histoire, sauf pour Christian qui a vraiment voulu voir si on pouvait chavirer et qui s'est donné tellement de peine qu'il y est arrivé. A renouveler au plus tôt (la balade en kayak, pas le chavirage...) ou à mettre à l'agenda pour l'année prochaine!







vendredi 26 août 2016

Ramer pour le groupe tandem!

Dans notre groupe, on connaît surtout le vélo et la marche. Mais il y a aussi le ski de fond, le ski de descente et la raquette. Et il y a eu également la natation et même le bowling et le pédalo. Alors, pourquoi pas le kayak?

C'est ce que se sont dits Paul et Bernard qui s'y sont essayé avec bonheur sur le lac de la Gruyère à plusieurs reprises. Plaisir assuré, au point qu'ils ont pensé que ça vaudrait la peine de faire découvrir ça aux copains du groupe.

Bien sûr, il y a eu quelques hésitations et un apprentissage est nécessaire. Juste quelques minutes, quoi. Ce sont des kayaks de mer et il faut vraiment insister très fort pour essayer des les tourner; on n'y a pas réussi. En plus, le gilet de sauvetage est obligatoire et loué avec le kayak. Et comme le lac est très peu en pente, il n'y a pas besoin d'avoir un entraînement de champion! La conduite ne demande que quelques zigzags, le temps d'apprivoiser les pagaies et de se coordonner.

Si ça vous tente, rendez-vous le 3 septembre à La Roche pour un matin d'essai. Il y a déjà quelques intéressés et des infos vous seront envoyées par courriel.



C'est le pied!

Ile d'Ogoz vue autrement

En attendant le barreur

Une petite goutte?